C'est l'heure de faire le point sur la notation !!
10: Le Divin
Ici on est au dessus du simple anime. On est au delà, on touche au divin, au Beau. Une oeuvre bouleversante qui transcende le statut d'oeuvre animé à celui d'oeuvre tout court. C'est un travail d'orfèvre, des frissons sur la peau, un sourire béat ou des spleens émotionnels sans limite. On touche à la narration parfaite, au rythme maîtrisé, à la musicalité extatique, on est plus devant un anime on est devant du génie. C'est un autre univers, celui des oeuvres éternel, celles aux thématiques forte qui brasse les genre et nous amène à l'introspection, à la méditation, à la reflexion, on revis, on jouis.
9. La Tuerie
L'anime qui déchire sa race. Le bouzin qu'on peut voir et revoir sans hésiter. On est devant un anime qui transpire le talent, la splendeur. C'est le haut du panier, les mercos qui claquent, les costard trois pièces, le cigare à la bouche et la main dans le slip. ça balance et ça cartonne, c'est de la giga tonne quality sweet dans ta gueule gros.
8. Le badasse
Celui où le temps passe vite. L'anime qui te pète les dents, et te fous des baffes. On en redemande, ça va, ça vient, ça bouge, ça swing, les idées s'enfilent avec brio, oh certes c'est pas du perfecto, mais on s'en bas les yakas. Car au final on en sort le sourire au lèvre et les yeux qui pétillent.
7. L'impertinent.
C'est mon easter egg à moi. Il est frèle, a du mal à s'affirmer, mais putain il déboite dans ce qu'il fait, et il le fait bien. Il s'aventure en zone à risque, certes maladroitement mais il le fait. Il prend des risques, se casse la gueule, perds des dents, mais fait plaisir à voir.
6. Le sympa
Ici on est dans le target market. C'est du marketing ciblé. Du formatage de gros businessman, on est pas dans l'amateurisme du formaté, on tape dans la niche élitiste. C'est propre et sans bavure. Trop propre pour sortir de sa condition. On aime, on tripe dessus, mais au final on s'envole guère loin. Prisonnier de sa condition on fera plaisir à sa fanbase (mahou, robot, oldies, et j'en passe), mais au final on aurait voulu plus de risques. Dans tous les cas c'était quand même sympa. Sympa comme la fille qu'on trouve mignonne, sympa comme les vacances dans le sud en tong et maillot. Sympa...
5. La déception
Le fameux 50/50, l'enigme, le chieur à caser. Sauf qu'ici soyons franc on est plus dans le 65 ça pique les yeux, 35 c'était quand même pas mal. L'anime laisse dubitatif, on aurait tellement voulu plus. L'amertume qu'il laisse n'en est que plus sévère. Il avait bonne mine, des idées au dessus de la moyenne voir même qui frôlait le génie, une musique qui sort de l'ordinaire, un background pas dégueu, voir tous ces éléments à la fois. Malheureusement il se fait plombé par des défauts rédhibitoires. Des persos en forme de gland, ou une fin faite avec les moignons, on ose pas assez, on stagne, on veut trop plaire à tout le monde et on finit parqués dix ans après sa sortie dans un parking de lada d’occasion dans l’indifférence totale.
4. Le sous produit
C'est le carré mais dans tout ce qu'il a d'indigeste. Masse culture, masse production, masse vide. On est dans l'industriel, le clichés, la boite de conserve. Vide et creux, on interpelle plus on ne fait qu'héler le chaland devant des putes aux chattes moisies. ça sent le rance et la vinasse coupée à l'eau. C'est toujours ça de prix lors des moments d'errance, pour les affamés et les moments de perdition (car oui on en a tous).
3. Le Prétentieux
Voila dans quelle catégorie on arrive quand on pète plus haut que son cul. On roule des mécaniques mais oublie la boite de haricots William Serein qu'on s'est tapé juste avant, bilan ça refoule de partout. En soit c'est pas l'horreur absolue. Y a de l'idée, mais elle reste étalée sur le carrelage tel la gerbe des lendemain de cuite. Un caillou reste un caillou qu'il soit lavé et poli.
2: La honte.
Une sombre bouze. C'est une erreur de la nature, sa création n'a aucun sens, si ce n'est l'éclair d'un roberto dans le staff qui a pondu une chiure dont l'odeur se reproche plus d'un parfum bas de gamme chez monoprix que de la crotte de bouc.
1: La grosse merde.
La vulgarité à son paroxysme, une insulte visuelle et intellectuelle. Le genre de "truc" insoutenable, moche, animé avec des bites en plastoc, dessiné par des lépreux. Le scenario tient sur du PQ slovaque, ça suinte la médiocrité, ça pue du gland, BREF C'EST UNE HORREUR.
All Comments (6) Comments
Kugimiya, Rie
Bien ta sodomie auditive ?
Tu parles de l'agencement de mes favoris ? Eh bien, je pique juste des images sur le net, puis je les met au format 150*150 pixels avec un contour blanc ou noir, que j'ajoute ensuite un par un sur mon profil avec les liens (et ça, c'est chiant). Si tu parles du design de ma liste, c'est un peu plus compliqué puisqu'il faut modifier le code CSS de la page.
D'ailleurs, j'aime aussi beaucoup ton système de notation qui est à la fois juste et bien marrant.
J'aimerais bien passer sur le chan, mais je sais qu'au bout d'un moment je ne ferais que lurker, comme les deux ou trois dernières fois où je suis (re)venu. :p
Et Umi Kara no Shisha ça surbute sa race mec !!